CHAPITRE 13 : QUE FAIRE ?
Une fois le repas terminé, Derek guida ses amis jusqu'à une salle d'attente située au rez-de-chaussé de l'hôpital. Un grand espace où baignait la lumière du jour, grâce aux grandes baies vitrées tapissant les murs tout autour. Le neurochirurgien récupéra les radios de la patiente, informa ses amis qu'il partait les examiner puis qu'il reviendrait les voir juste après. L'ensemble des personnes avaient acquiescé avec plus au moins de motivation. Sauf Cal, qui n'avait même pas dénié jeter un seul regard au médecin, préférant fixer un point invisible sur le sol. Derek avait discerné l'évitement de son ami, mais pensa encore une fois qu'il s'agissait de l'angoisse du moment. D'un volte-face, il prit direction à la salle de radiologie lorsque House s'exclama, sur ses talons :
— Attends, je viens avec toi !
— Heu… si tu veux ! Mais tu n'as pas peur qu'en marchant dans les couloirs on puisse voler ta canne comme objet collector ? s'amusa le neurochirurgien. House se retourna discrètement vers Cal qui lui lançait un sombre regard et souffla: — Nope, c'est pas vraiment de ça dont j'ai peur…, puis suivit les pas de son ami.
Dix minutes plus tard, les deux médecins arrivèrent au service de radiologie et entrèrent dans une salle où il était possible d'examiner plusieurs radios avec exactitude. Dans un coin, House s'était installé sur un siège pour observer silencieusement Shepherd mettre en place les radiographies de Gillian. Il les posa succinctement sur une plaque éclairée par des tubes à rayons x lui permettant de révéler chaque détails de l'image.
— Tu ne trouves pas Cal étrange ? Enfin, je sais qu'il l'est tout le temps et avec ce qu'il se passe avec Gill, je peux comprendre… Mais j'ai senti qu'il mettait énormément de distance entre nous. Et il ne m'avait jamais fait ça auparavant…
L'homme à la canne ne lui répondit pas. Derek alluma la lumière des tableaux muraux pour voir la transparence des radios et souffla pour lui-même :
— Ça doit être à cause de la situation…
Il se recula d'un pas pour observer les photos alors que House, les deux mains sur sa canne, resta attentif à la prochaine réaction de son ami. Celle-ci ne se fit pas attendre. Face au terrible constat, le neurochirurgien serra ses poings et sa mâchoire de rage.
— Il m'a menti…, souffla t-il, le regard furieux.
Un silence glacial se propagea dans la pièce. House entreprit de prendre la parole:
— La tumeur n'est pas très grosse mais…
— Elle est en plein dans l'hémisphère gauche ! s'écria Derek hors de lui.
— Elle est difficilement accessible, Cal pensait que…
— Quoi ?! Il pensait quoi ? continua de vociférer le neurochirurgien en se retournant vers House toujours d'un calme sidérant. Que j'allais dire oui ? Que j'allais ouvrir le crâne d'une de mes amies et me dire que si j'échoue ce n'était pas grave ?
— Il voulait une chance de la sauver.
— Tu étais au courant ?!
House baissa ses yeux.
— J'y crois pas…, soupira Derek, en passant une main perturbée dans ses cheveux. Il faut… il faut que je lui parle, dit-il en quittant précipitamment la pièce. House s'empressa de le suivre dans les couloirs en criant :
— Il a menti pour lui donner une chance !
— Il a menti pour rejeter la faute sur quelqu'un d'autre ! rétorqua le brun, en prenant les escaliers pour aller plus vite alors que House dû se résoudre à prendre l'ascenseur.
Au rez-de-chaussé, Shepherd marcha avec détermination vers ses amis. Il camoufla du mieux qu'il put sa colère et se posta face à Cal pour exiger d'une voix autoritaire :
— Cal ! Je pourrai te parler deux minutes, s'il te plait.
Le concerné examina le visage de son ami et perçut une forte émotion négative qu'il tentait de refouler avec peine. Cal comprit immédiatement de quoi il en retournait et se leva sous les yeux perturbés de Gillian.
— Heu… tout va bien ? s'inquiéta t-elle.
— Yep Honey ! On va juste discuter d'un truc et on revient ! répondit l'expert en mensonge avec un sourire qui se voulait rassurant. Derek l'emmena dans un coin isolé, loin des oreilles indiscrètes, et s'emporta à voix basse:
— Tu m'a menti !
— J'avais mes raisons ! répliqua Cal sur le même ton.
— Tes raisons ?! Tu rigoles j'espère ! Tu pensais sérieusement que si j'étais devant le fait accompli, je serais plus enclin à dire oui ?
Cal garda le silence, mais Derek comprit qu'il venait de deviner ses pensées. Cela l'enragea encore plus:
— Je suis désolé mais je refuse ! Il existe d'autres neurochirurgiens dans le pays, je peux vous en donner la liste.
— C'est toi que je veux et personne d'autre ! exigea t-il, en le pointant du doigt.
— Pourquoi moi ?
— Parce que t'es le meilleur !
— Je ne vais pas ouvrir le crâne d'une de mes amies en sachant qu'il y a trop de risques pour endommager son cerveau !
— Si je la perd, je ne pourrais pas y survivre…
— Et moi si je la tue ! Tu crois que je vais pouvoir y survivre ? Tu crois que je vais pouvoir me lever tous les matins en prenant le petit déjeuné avec ma famille comme si de rien n'était ? Tu crois que je vais encore pouvoir te regarder dans les yeux en me disant que j'ai tué la femme que tu ai... Derek s'auto-censura et se reprit d'une main lasse sur son visage: — Je ne ferai pas ça au risque de perdre notre amitié, je suis désolé.
— Si tu ne le fais pas, notre amitié ne sera plus.
— Crois tu que tu le seras encore quand j'arriverai vers toi le visage défait en m'excusant d'avoir tué ta meilleure amie?! termina t-il sèchement, en se détournant pour reprendre acte de ses émotions.
— J'ai menti pour toi ! proclama Cal un peu plus fortement qu'il aurait voulu en le pointant d'un doigt inquisiteur. Furieux, le médecin de Seattle se retourna vivement :
— Comment oses tu utiliser ça contre moi ? Tu…
Il ne put dire un mot de plus que Gillian était venue voir ce qui retenait temps les deux hommes.
— Ça va ? Cela fait dix minutes que vous discutez alors je m'inquiétais…
— Je…, commença à dire Shepherd vite coupé par Lightman.
— Tout va bien honey ! On parlait juste du bon vieux temps ! De notre si longue amitié, de ce qu'ont était prêt à faire l'un pour l'autre…
Cal appuya son regard sur Derek pour lui faire passer un message silencieux. Ce dernier tourna sa tête de droite à gauche en signe de désolation. Il entendit son bipper sonner, regarda l'appel et signala :
— Excusez-moi, j'ai une urgence.
Le neurochirurgien s'éloigna sans un mot de plus. Seule avec Cal, Gillian en profita pour lui demander:
— Vous parliez de quoi ?
— Je te l'ai dit du bon vieux temps !
Il passa un bras autour de sa taille et la poussa à retourner vers la salle d'attente. Sceptique de cette réponse, elle fronça ses sourcils de suspicion mais s'exécuta en silence.
Une heure plus tard, Derek venait de clore l'urgence de son précédent patient. Toujours aussi furieux contre Cal, il marcha activement sur la passerelle de l'immense hôpital afin d'y rejoindre l'autre bout pour retrouver sa compagne restée en salle de repos. À mi-parcours, il s'arrêta en apercevant son ami mentaliste, les deux mains dans son dos, contemplant l'extérieur du Seattle Hospital par les immenses baies vitrées. Il semblait calme et détendu, comme s'il profitait de chaque seconde passé avec allégresse. Sans réfléchir, Derek prit lentement place à ses côtés en s'appuyant contre la rambarde de sécurité. Un silence plus tard, Jane déclara d'une voix apaisée:
— Le soleil qui commence à se coucher sur une ville, c'est toujours un magnifique spectacle…
— Il m'a menti…, souffla Derek, sans aborder les événements passés.
Jane ne répondit pas.
— Je ne vais pas pouvoir faire l'opération c'est trop risqué… Il faut qu'ils prennent un autre neurochirurgien. Derek marqua une pause et s'offensa : — Comment a-t-il pu me mentir, en sachant ce qui était en jeu ?
— Tu sais… quand on aime quelqu'un aussi fort que ça, on est prêt à tous les sacrifices pour sauver cette personne. Et pour Cal, le mensonge est l'un des plus grands sacrifices qu'il puisse faire… après la mort.
— Je sais, il me l'a déjà prouvé…, dit-il, en se souvenant d'une sombre période où Cal n'avait pas hésité à prouver son amitié.
— Si j'avais eu l'occasion de mentir à l'un de mes plus proches amis pour avoir une infime chance de sauver la vie des personnes que j'aime… Je le ferais sans hésitation.
— Patrick…
Derek savait à quoi son ami faisait allusion et cela le toucha profondément. Jane fit abstraction des émotions du médecin et se retourna face à lui pour déclarer avec sérieux :
— Cal a été prêt à mentir pour toi, et je sais qu'il serait prêt à risquer sa vie si tu étais en danger, la question est : Qu'est-ce que tu serais prêt à faire pour lui au nom de votre amitié ?
Un ange passa. Derek était en pleine réflexion face à cette question réthorique. Patrick retourna son regard sur l'extérieur et demanda :
— Tu sais pourquoi j'aime regarder le soleil qui se couche ?
Shepherd secoua négativement sa tête.
— Parce que je sais que lorsqu'il se couche, il met fin à une journée qui peut être la pire que j'ai vécu, mais je sais que quand il reviendra le lendemain matin il pourra aussi m'offrir la plus belle de ma vie.
Après quoi, le mentaliste tapota amicalement l'épaule du chirurgien et s'éclipsa pour retrouver ses amis restés en bas. Désormais seul, Derek serra sa mâchoire et lia ses deux mains sur la rambarde pour réfléchir à tout ce qui venait d'être dit. Il n'avait plus qu'un choix à faire…
À SUIVRE…
— Attends, je viens avec toi !
— Heu… si tu veux ! Mais tu n'as pas peur qu'en marchant dans les couloirs on puisse voler ta canne comme objet collector ? s'amusa le neurochirurgien. House se retourna discrètement vers Cal qui lui lançait un sombre regard et souffla: — Nope, c'est pas vraiment de ça dont j'ai peur…, puis suivit les pas de son ami.
Dix minutes plus tard, les deux médecins arrivèrent au service de radiologie et entrèrent dans une salle où il était possible d'examiner plusieurs radios avec exactitude. Dans un coin, House s'était installé sur un siège pour observer silencieusement Shepherd mettre en place les radiographies de Gillian. Il les posa succinctement sur une plaque éclairée par des tubes à rayons x lui permettant de révéler chaque détails de l'image.
— Tu ne trouves pas Cal étrange ? Enfin, je sais qu'il l'est tout le temps et avec ce qu'il se passe avec Gill, je peux comprendre… Mais j'ai senti qu'il mettait énormément de distance entre nous. Et il ne m'avait jamais fait ça auparavant…
L'homme à la canne ne lui répondit pas. Derek alluma la lumière des tableaux muraux pour voir la transparence des radios et souffla pour lui-même :
— Ça doit être à cause de la situation…
Il se recula d'un pas pour observer les photos alors que House, les deux mains sur sa canne, resta attentif à la prochaine réaction de son ami. Celle-ci ne se fit pas attendre. Face au terrible constat, le neurochirurgien serra ses poings et sa mâchoire de rage.
— Il m'a menti…, souffla t-il, le regard furieux.
Un silence glacial se propagea dans la pièce. House entreprit de prendre la parole:
— La tumeur n'est pas très grosse mais…
— Elle est en plein dans l'hémisphère gauche ! s'écria Derek hors de lui.
— Elle est difficilement accessible, Cal pensait que…
— Quoi ?! Il pensait quoi ? continua de vociférer le neurochirurgien en se retournant vers House toujours d'un calme sidérant. Que j'allais dire oui ? Que j'allais ouvrir le crâne d'une de mes amies et me dire que si j'échoue ce n'était pas grave ?
— Il voulait une chance de la sauver.
— Tu étais au courant ?!
House baissa ses yeux.
— J'y crois pas…, soupira Derek, en passant une main perturbée dans ses cheveux. Il faut… il faut que je lui parle, dit-il en quittant précipitamment la pièce. House s'empressa de le suivre dans les couloirs en criant :
— Il a menti pour lui donner une chance !
— Il a menti pour rejeter la faute sur quelqu'un d'autre ! rétorqua le brun, en prenant les escaliers pour aller plus vite alors que House dû se résoudre à prendre l'ascenseur.
Au rez-de-chaussé, Shepherd marcha avec détermination vers ses amis. Il camoufla du mieux qu'il put sa colère et se posta face à Cal pour exiger d'une voix autoritaire :
— Cal ! Je pourrai te parler deux minutes, s'il te plait.
Le concerné examina le visage de son ami et perçut une forte émotion négative qu'il tentait de refouler avec peine. Cal comprit immédiatement de quoi il en retournait et se leva sous les yeux perturbés de Gillian.
— Heu… tout va bien ? s'inquiéta t-elle.
— Yep Honey ! On va juste discuter d'un truc et on revient ! répondit l'expert en mensonge avec un sourire qui se voulait rassurant. Derek l'emmena dans un coin isolé, loin des oreilles indiscrètes, et s'emporta à voix basse:
— Tu m'a menti !
— J'avais mes raisons ! répliqua Cal sur le même ton.
— Tes raisons ?! Tu rigoles j'espère ! Tu pensais sérieusement que si j'étais devant le fait accompli, je serais plus enclin à dire oui ?
Cal garda le silence, mais Derek comprit qu'il venait de deviner ses pensées. Cela l'enragea encore plus:
— Je suis désolé mais je refuse ! Il existe d'autres neurochirurgiens dans le pays, je peux vous en donner la liste.
— C'est toi que je veux et personne d'autre ! exigea t-il, en le pointant du doigt.
— Pourquoi moi ?
— Parce que t'es le meilleur !
— Je ne vais pas ouvrir le crâne d'une de mes amies en sachant qu'il y a trop de risques pour endommager son cerveau !
— Si je la perd, je ne pourrais pas y survivre…
— Et moi si je la tue ! Tu crois que je vais pouvoir y survivre ? Tu crois que je vais pouvoir me lever tous les matins en prenant le petit déjeuné avec ma famille comme si de rien n'était ? Tu crois que je vais encore pouvoir te regarder dans les yeux en me disant que j'ai tué la femme que tu ai... Derek s'auto-censura et se reprit d'une main lasse sur son visage: — Je ne ferai pas ça au risque de perdre notre amitié, je suis désolé.
— Si tu ne le fais pas, notre amitié ne sera plus.
— Crois tu que tu le seras encore quand j'arriverai vers toi le visage défait en m'excusant d'avoir tué ta meilleure amie?! termina t-il sèchement, en se détournant pour reprendre acte de ses émotions.
— J'ai menti pour toi ! proclama Cal un peu plus fortement qu'il aurait voulu en le pointant d'un doigt inquisiteur. Furieux, le médecin de Seattle se retourna vivement :
— Comment oses tu utiliser ça contre moi ? Tu…
Il ne put dire un mot de plus que Gillian était venue voir ce qui retenait temps les deux hommes.
— Ça va ? Cela fait dix minutes que vous discutez alors je m'inquiétais…
— Je…, commença à dire Shepherd vite coupé par Lightman.
— Tout va bien honey ! On parlait juste du bon vieux temps ! De notre si longue amitié, de ce qu'ont était prêt à faire l'un pour l'autre…
Cal appuya son regard sur Derek pour lui faire passer un message silencieux. Ce dernier tourna sa tête de droite à gauche en signe de désolation. Il entendit son bipper sonner, regarda l'appel et signala :
— Excusez-moi, j'ai une urgence.
Le neurochirurgien s'éloigna sans un mot de plus. Seule avec Cal, Gillian en profita pour lui demander:
— Vous parliez de quoi ?
— Je te l'ai dit du bon vieux temps !
Il passa un bras autour de sa taille et la poussa à retourner vers la salle d'attente. Sceptique de cette réponse, elle fronça ses sourcils de suspicion mais s'exécuta en silence.
Une heure plus tard, Derek venait de clore l'urgence de son précédent patient. Toujours aussi furieux contre Cal, il marcha activement sur la passerelle de l'immense hôpital afin d'y rejoindre l'autre bout pour retrouver sa compagne restée en salle de repos. À mi-parcours, il s'arrêta en apercevant son ami mentaliste, les deux mains dans son dos, contemplant l'extérieur du Seattle Hospital par les immenses baies vitrées. Il semblait calme et détendu, comme s'il profitait de chaque seconde passé avec allégresse. Sans réfléchir, Derek prit lentement place à ses côtés en s'appuyant contre la rambarde de sécurité. Un silence plus tard, Jane déclara d'une voix apaisée:
— Le soleil qui commence à se coucher sur une ville, c'est toujours un magnifique spectacle…
— Il m'a menti…, souffla Derek, sans aborder les événements passés.
Jane ne répondit pas.
— Je ne vais pas pouvoir faire l'opération c'est trop risqué… Il faut qu'ils prennent un autre neurochirurgien. Derek marqua une pause et s'offensa : — Comment a-t-il pu me mentir, en sachant ce qui était en jeu ?
— Tu sais… quand on aime quelqu'un aussi fort que ça, on est prêt à tous les sacrifices pour sauver cette personne. Et pour Cal, le mensonge est l'un des plus grands sacrifices qu'il puisse faire… après la mort.
— Je sais, il me l'a déjà prouvé…, dit-il, en se souvenant d'une sombre période où Cal n'avait pas hésité à prouver son amitié.
— Si j'avais eu l'occasion de mentir à l'un de mes plus proches amis pour avoir une infime chance de sauver la vie des personnes que j'aime… Je le ferais sans hésitation.
— Patrick…
Derek savait à quoi son ami faisait allusion et cela le toucha profondément. Jane fit abstraction des émotions du médecin et se retourna face à lui pour déclarer avec sérieux :
— Cal a été prêt à mentir pour toi, et je sais qu'il serait prêt à risquer sa vie si tu étais en danger, la question est : Qu'est-ce que tu serais prêt à faire pour lui au nom de votre amitié ?
Un ange passa. Derek était en pleine réflexion face à cette question réthorique. Patrick retourna son regard sur l'extérieur et demanda :
— Tu sais pourquoi j'aime regarder le soleil qui se couche ?
Shepherd secoua négativement sa tête.
— Parce que je sais que lorsqu'il se couche, il met fin à une journée qui peut être la pire que j'ai vécu, mais je sais que quand il reviendra le lendemain matin il pourra aussi m'offrir la plus belle de ma vie.
Après quoi, le mentaliste tapota amicalement l'épaule du chirurgien et s'éclipsa pour retrouver ses amis restés en bas. Désormais seul, Derek serra sa mâchoire et lia ses deux mains sur la rambarde pour réfléchir à tout ce qui venait d'être dit. Il n'avait plus qu'un choix à faire…
À SUIVRE…