LIGHTMAN5
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Rendez-vous en enfer

Arrêter un meurtrier, en se faisant passer lui-même comme tel. Un jeu d'échec en grandeur nature entre ses murs. Il était prêt à tous les sacrifices pour faire éclater cette justice. À force de jouer les méchants, n'allait-il pas se laisser tomber dans l'obscurité au péril de la vérité ?
(utilisation d'un personnage d'une autre série, sans être un véritable cross-over)

Genre: Général - Rating T
Saison: Après 3


CHAPITRE 8 : SAINT GRAAL


Flash-Back...

Les prisonniers vagabondèrent librement au rez-de-chaussée sous la surveillance doublée des gardes. Cal avait profité d'un instant de solitude pour s'allonger sur son lit et travailler sur son énigme. Il guetta par moment une apparition surprise de T-Bag. Soudain, il sursauta presque en entendant un vacarme assourdissant tonner dans l'espace central. Dans la précipitation, il cacha son livre et son papier codé sous son matelas puis sauta de son lit pour quitter sa cellule. Il capta immédiatement l'étrange attitude d'un détenu avec un tatouage triangulaire sur son crâne rasé, prouvant son appartenance avec le clan Marshall. Cal remarqua une fine tige en fer dépasser de la manche de sa tenue de prisonnier. L'embout de l'objet était de couleur rougeâtre et laissait perler de fines gouttes sur le sol goudronné. L'expert en mensonge tourna son regard de l'autre côté de la salle. Un corps inerte et ensanglanté jonchait sur le sol. L'alarme de sécurité du pénitencier se déclencha alors qu'une meute de prisonniers hispanique s'était approchée du prisonnier mortellement blessé. Il analysa leur expression, mêlant à la fois tristesse et colère. Il devait certainement s'agir d'un membre de leur clan. Dans la cohue générale, il regarda deux latinos se détacher de leur groupe pour se précipiter rageusement sur celui des Marshall.
— Bande de fils de putes ! On sait que c'est vous ! s'écria un prisonnier latino.
— Blood in blood out ! cria l'un des membres Marshall.
— Vous vous en sortirez pas comme ça ! ragea un autre hispanique.
— Blood in blood out ! hurlèrent en cœur le gang de la fraternité d'A.B avec leur poing levé.
La vengeance se glissa dans les veines des latinos enragés. Une bagarre générale s'annonçait dans leur regard meurtrier. C'était sans compter sur l'invasion d'une épaisse fumée blanche qui obligea tous les détenus à rester sur place. C'était du fumigène. Un moyen efficace qu'employait les gardiens pour éviter une émeute ingérable. Cal plaça un bout de son t-shirt sur son visage pour éviter que la fumée nocive puisse envahir ses poumons. La vue légèrement brouillée, il aperçut une horde de gardes envahir les lieux, tels des soldats partant en guerre contre l'ennemi.
— TOUT LE MONDE À TERRE ! hurla un surveillant, une arme à la main.
L'ordre tonné, tous les détenus obtempèrent sans condition en s'affalant sur le sol avec leurs deux mains sur la tête. Cal les imita. Il vit les chaussures d'un gardien frôler sa tête avant de voir le présumer meurtrier faire rouler son arme banche dans un coin isolé. Une fois le calme revenu, les gardes procédèrent à une fouille générale et trouvèrent l'arme qui avait servi à tuer le prisonnier. Le corps de celui-ci fut transféré à l'infirmerie, le temps que les légistes viennent le chercher. Un surveillant profita de la servitude des détenus pour vérifier leurs mains. Si du sang était présent sur l'une d'entre elles, cela révélerait à coup sûr l'identité du tueur. La tension était à son comble. Les pas lourds des rangers du gardien raisonnèrent dans toute la prison soumise au joug des hommes en uniforme. Il glissa main après main son regard aiguisé qui était seul juge de cette affaire. Certains détenus déglutirent alors que d'autres jubilaient de ce divertissement. Après sept inspections minutieuses, l'homme en uniforme pila devant l'homme au crâné au rasé. Les paumes du prisonnier étaient face au sol. Une attitude particulièrement suspecte. Le surveillant se baissa pour les retourner avec force. Du sang. La justice interne venait de trancher. Il se redressa et ordonna à ses collègues d'embarquer le prisonnier. Soutenu par deux gardes, le tueur fut trainé sans vergogne jusqu'à la sortie avec plusieurs menaces et insultes du clan ennemi.
— On va te buter !
— Tu vas pas t'en sortir ! Tu vas payer pour c'que t'as fait !
— La ferme ! s'écria un surveillant.
L'autorité avait saisi tous les prisonniers. Un silence de cathédrale se propagea dans l'habitacle. D'un regard circulaire, Cal vit un peu plus loin T-Bag arborer un énorme sourire.

Cinq minutes plus tard, tous les détenus furent renvoyés dans leur cellule. Collé contre les grilles de sa cage, Cal regarda un agent d'entretien nettoyé l'épaisse flaque de sang répandue sur le sol. Bagwell le fixa du coin de l'œil alors qu'il s'amusait à contempler son reflet dans le miroir pour vérifier si l'état de son visage de cette semaine n'était pas à déplorer.
— Jolie peinture ! N'est-ce pas ? déclara joyeusement Bagwell, en faisant référence aux traces de sangs laissées par le prisonnier.
— Pourquoi l'avoir tué ?
— Pour rentrer dans le club !
Intrigué, Cal se retourna vers T-Bag et répliqua :
— Ça n'a pas de sens, moi j'ai fait un combat contre un membre du clan de Terrens sans avoir à le tuer et pourtant je fais parti du club.
— Mmh c'est vrai maiiis… pas totalement !
— Comment ça ?
— Le combat, n'était que la première étape. Plus tard tu devras faire tes preuves en tuant au choix un membre d'un clan adverse pour prouver ta réelle loyauté et… tes idéaux.
— Donc si je comprends bien… Je ne fais pas parti de votre clan ?
— On va dire que tu as encore un long chemin à faire jeune Obi Wan ! Et vu que je suis en quelque sorte ton mentor, je dois te montrer le droit chemin pour parvenir au graal ! Callaghan a désormais passé son stade de "progeny" à membre intégrant de la fraternité. Il ne lui restera plus qu'à prêter allégeance !
— Vous n'avez pas peur des représailles ?
— De la Nuestra Familia ? Ce sont de petits agneaux comparés à nous… Et au quel cas, on suivra le 4ème commandement.
— La vengeance sera sienne, par son frère toujours présent…
— Tu apprends vite ! Ta promotion ne serait tarder.
Cal regarda silencieusement Theodore lui sourire pour montrer son ravissement à cette idée.

-o-O-o-

— Après l'échange des livres, le Dr. Lightman a pu découvrir le message caché ? demanda Dall à Gillian.
— Le problème, c'était que depuis l'assassinat d'un prisonnier, l'ambiance était deux fois plus tendue dans la prison. Ce qui demandait au Dr Lightman encore plus de vigilance…

-o-O-o-

Flash-Back…

Peu de temps après le meurtre du prisonnier latino, Cal exigea la présence de Reynolds dans la salle des visiteurs.
— Vous avez ce que je vous ai demandé ? demanda Cal à son visiteur.
— Tenez…, soupira Reynolds, en lui donnant un magasine. Alors, vous n'avez pas encore trouvé de piste ?
— Non ! Enfin si…mais…
— Lightman, s'énerva Ben à voix basse. Vous savez qu'on commence à avoir les grandes pompes du gouvernement sur le dos! Et ils n'apprécient pas vraiment le fait qu'un civil joue les prisonniers même pour acquérir des informations sur une affaire de meurtre. Jusqu'à maintenant, j'ai pu vous protéger mais votre couverture s'éternise et je ne pourrai pas indéfiniment vous laisser ici.
— Je suis à ça de découvrir leur moyen de communication, répliqua-t-il, en mimant un fin espace entre son pouce et son index. Ben… il faut que vous me laissiez encore du temps.
Cal le suppliait. Reynolds savait que s'il autorisait Lightman à rester plus longtemps dans cet endroit ses supérieurs lui réclameraient des explications et l'éloignerait peut-être même de l'affaire. D'un autre côté, il savait que l'expert en mensonge était sans doute le seul a pouvoir découvrir la faille dans le clan Marshall...
— Une semaine, obtempéra Ben.
— Ok, une semaine !
— Après ça, vous sortez d'ici ! exigea-t-il, sévèrement.
— Oui…
— Et sinon… vous vous en sortez ?
— J'ai eu pire.
— Pire que la prison ? s'étonna-t-il.
— Comment va Foster ?
Reynolds ne comprit pas la raison de cette digression et répondit :
— Elle va bien… Elle continue à chercher des indices avec votre équipe dans les dossiers de Marshall.
Cal acquiesça sans dire un mot.
— Elle s'inquiète pour vous, vous savez ?
L'expert en mensonge soupira et remercia Reynolds pour sa venue. La visite achevée, il fut relâché dans le centre de la prison où quelques prisonniers se baladaient. Avec nonchalance, il se dirigea vers sa cellule lorsqu'une conversation l'alerta.
— Hey T-Bag ! Regarde qui se cachait dans sa cellule ! s'écria un des membres du clan Marshall.
Le prisonnier poussa brutalement le gamin d'à peine dix-huit ans que Theodore ne cessait de provoquer.
— Ooh mais c'est Noel avant l'heure ! s'exclama Bagwell, en s'avançant vers le jeune homme au regard terrifié.
— Je crois qu'il attendait ta visite avec impatience ! ria un collègue de T-Bag.
— Moi qui commençait à m'ennuyer…
D'un sourire carnassier, Theodore passa sa langue sur ses lèvres pour dévoiler ses intentions malsaines. Il ne se trouva plus qu'à quelques centimètres de sa cible lorsqu'un importun s'interposa entre lui et sa victime.
— Laisse-le T-Bag.
— Oh Mister Fox ! Le chevalier au grand coeur ! Dis moi, je trouve que tu as bien trop de qualités pour un meurtrier ? À moins… que tu es enfin trouvé ton genre !
À l'idée de cette simple pensée abjecte, Cal sentit ses phalanges blanchirent alors qu'il fusilla du regard son voisin de cellule. Tous les prisonniers présents s'étaient arrêtés dans leur activité pour observer la scène remplie d'hostilité. Les deux hommes se toisèrent du regard. L'un au sourire amusé et l'autre à la colère très prononcée.
— Va voir ailleurs, exigea Cal.
La tension était à son comble. T-Bag ne cessait de regarder, par des vas et vient envieux, le jeune prisonnier et son obstacle l'empêchant de passer à l'acte.
— Jusqu'à présent, on s'était bien entendu et j'aimerais que ça continu. Alors je te le répète, va voir ailleurs.
Theodore ne semblait pas vouloir abandonner. Il voulait assouvir cette envie bestiale. Cette chose qui faisait de lui ce qu'il était. Tout d'un coup, le regard de T-Bag rencontra celui impassible de Warner. Cela ne semblait pas être pour aujourd'hui... D'un soupir rieur, il se recula d'un pas de Cal et plaça ses mains en avant en signe d'abandon.
— No problemo mi amigo ! Je ne voudrais rien faire qui pourrait entacher notre si belle amitié !
Cal savait que cela n'était surement pas la cause, mais il préféra ne rien répondre au risque de provoquer un combat inutile. Il indiqua au jeune garçon de déguerpir et s'approcha de Bagwell pour lui susurrer à son oreille :
— Tu t'approches encore de lui et te promets que tu ne pourra plus jamais la voir grandir.
Cal lança un regard appuyé sur l'entrejambe de T-Bag pour lui faire comprendre son sous-entendu. Cette menace n'était pas dite en l'air. T-Bag le savait. En d'autres occasions, il s'en ficherait et lui prouverait qui était le patron de cette prison. Malheureusement, il dû se résoudre à se plier comme un chien devant son maître. Cal jeta un dernier regard froid à son rival et le bouscula légèrement en quittant les lieux. T-Bag s'en amusa puis cracha un graillon au sol en songeant à la belle occasion qu'il venait de perdre.

De nouveau enfermés, la tension entre Theodore et Cal s'était peu à peu dissipée après une bonne heure d'ignorance. Durant ce laps de temps, Cal en avait profité pour commencer à décoder le message caché de Warner dans le livre de John Steinbeck. Pour plus de sécurité, il avait placé sa feuille de recherche entre deux pages de son magasine de mot croisés que Reynolds lui avait offert. Allongé sur son lit, il ragea intérieurement en cherchant toutes les combinaisons possibles. T-Bag remarqua ses expressions agacées et lui demanda :
— Que fait Mister Fox pour autant faire chauffer son cerveau ?
— Mots croisés !
— Mmh ! Je suis un champion dans la catégorie, besoin d'aide ?
Cal chercha un jeu de mots croisés dans son magasine et lut :
— Euh un mot en 5 lettres… Ils ne respectent pas les règles de conduite tout en pensant qu’ils sont sur la bonne route. Le bout du bout.
— Anars !
— Fournit à son héros l'occasion de souffler. En 10 ?
— Absolution !
— La femme de nos rêves, en 4 lettres commençant par…
— Isis !
— Waah en effet t'es doué !
— Je te l'avais dit ! Une des seules choses que mon père a réussi à m'apprendre…
— Les femmes ?
— Non les encyclopédies !
Cal regarda un instant T-Bag en se demandant s'il plaisantait ou non. Face à son expression sérieuse, il comprit que celui-ci lui disait la vérité.
— En entier ?
— Toutes erreurs étaient punis de ses mains !
— Il te battait ?
— Quand il était de bonne humeur, sinon il préférait plutôt les utiliser d'une autre manière si tu vois ce que je veux dire…
L'expert en mensonge avait depuis longtemps soulevé l'idée, mais jusqu'à présent il avait préféré ne pas trop la creuser.
— Il a abusé de toi ?
Bagwell esquissa un sourire forcé à cette déduction. Il croisa ses bras et répliqua :
— Tel père tel fils, hein ? Enfin… quoique je ne sais pas quel est le dicton quand il s'agit aussi de son propre frère !
Estomaqué, Cal se redressa sur son lit et s'exclama :
— Attends, t'es en train de me dire que tu es né d'un inceste ?
— Bienvenu dans la famille Bagwell ! s'exclama-t-il théâtralement. Chacun sa croix à porter… Ma pauvre mère a sans doute eu plus de chance que moi en mourant. Pas que je n'ai pas déjà pensé à l'y rejoindre… Mais je pense être trop lâche pour réussir à me couper les veines…
Cal était sidéré. Cet homme était une contradiction monumentale. Il était l'intelligence incarnée, mais dans la perversité. Blessé dans l'enfance, mais se sentant obligé d'insuffler sa souffrance. Frêle, mais possédant un mental d'acier. Qui était-il vraiment ? Il avait vécu le pire des enfers et il semblait avoir toujours su qu'il ne pourrait jamais être autre chose que ce que la vie lui avait ordonné d'être. C'est à ce moment là que Cal se posa cette même question qui avait longtemps rongé son esprit… Devenait-on ce que les autres faisait de nous ?
— Et toi ? lui demanda T-Bag.
L'expert en mensonge hésita à lui répondre ou du moins à lui dire la vérité sur son douloureux passé. Il n'avait rien à perdre, mais il était tout de même étrange de partager ses souvenirs blessés avec un homme dénué d'humanité. Bagwell continua de le fixer dans l'attente d'une réponse. Cal émit une petite moue de sa bouche et révéla :
— Mon père était alcoolique et il est parti du jour au lendemain. Ma mère s'est suicidée, il nous battait.
Theodore ne parut nullement attristé par son histoire. Au lieu de cela, il fit quelques pas et soupira :
— Que de tristes histoires pour des enfants qui ont conduit leur chemin dans cet enfer… Ouais tristes histoires…
Sans un mot de plus, Bagwell remonta dans son lit et laissa Cal à ses occupations. Celui-ci ne parvint pas toute de suite à reprendre sa quête et dû attendre dix bonnes minutes pour se ressaisir de sa précédente discussion. Feuille en main, il continua de faire fonctionner ses méninges, jusqu'au moment où son visage s'illumina.

Peu de temps après, Cal se rendit dans le bureau du directeur de la prison pour obtenir une demande d'entretien avec Gillian. Le dirigeant accepta sa demande. Le temps de sa venue, il en avait profité pour fumer une cigarette dans la cour pour décompresser de ces dernières heures mouvementées. Les yeux fermés, il aspira brièvement sa fumée pour l'expirer d'un seul souffle. Il coinça son bâtonnet incandescent entre son index et son majeur puis éleva son regard en direction du ciel comme une prière silencieuse pouvant le bénir d'une future réussite. L'effort qu'engageait cette couverture lui demandait bien plus mentalement que physiquement. Il se sentait plus qu'exténué à surveiller ses arrières. Entre le groupe de Marshall qui ne lui accordait pas une totale confiance, le gang ennemi des Black présidé par Terrens et celui des latinos qui souhaitait à tout prix se venger de leur frère assassiné… Tout cela ne lui laissait guerre le temps d'accomplir sa mission. Il fallait que tout cela cesse. Sa survie en dépendait de même que celle des prochaines victimes ciblées par la fraternité AB. L'expert en mensonge entreprit une balade dans la cour pour évacuer ses pensées angoissantes. Il pesta intérieurement contre le groupe de Marshall qui riait de leurs histoires de meurtres et de violences aggravées lorsque...
— Appelez un médecin !
Que s'était-il encore passé ? Cal jeta sa cigarette à terre et accourut vers le surveillant qui d'après la tessiture de sa voix était envahi d'un sentiment de panique. Arrivé sur les lieux, il n'était pas le seul à vouloir sa place de spectateur. Une masse de prisonniers s'était regroupée en arborant des expressions de colère. L'expert en mensonge se fraya un chemin dans la foule et tomba sur une effroyable scène. C'est avec surprise qu'il découvrit le dénommé Callaghan, le meurtrier du jeune prisonnier hispanique, égorgé à mort sur le sol. Cal remarqua le nombre 14 scarifié sur le torse de la victime. Un meurtre sanglant pour un homme d'une même nature. Une vengeance à sang pour sang...
— Mmh dommage… il me plaisait bien, bredouilla T-Bag avec déception, aux côtés de Cal.
—14 ?
— La 14ème lettre de l'alphabet.
— N…, souffla Cal, sans comprendre la signification du message.
— La Nuestra Familia ! s'écria enragé un membre du clan Marshall. Ils vont nous le payer ces fils de chien !
— À ce que je vois, ils ont amélioré leurs méthodes, s'enthousiasma Bagwell. On joue presque dans la même cour !
T-Bag parut subitement s'ennuyé de ce spectacle morbide alors que son regard s'éleva en direction du ciel légèrement ensoleillé.
— Mmh ! Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que cela va être une splendide journée.
Éberlué, Cal fixa de manière circonspecte Theodore tourner son visage vers le sien.
— Tu ne trouves pas ? ajouta-t-il, jovialement.
Il fallait à tout prix qu'il sorte d'ici…

À SUIVRE...

Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13

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